
Morts ou vifs – Pour une écologie des arts vivants
Julie Sermon analyse les résonances des problématiques écologiques dans le champ des arts vivants
Étude réalisée par M. Bernard Reygrobellet en 2007.
Introduction (extrait) :
« Imaginons la nature dans la vallée de la Seine et traversons la capitale. Est-ce un hasard si au cœur du Paris historique, au long du quai de la Mégisserie on trouve des vendeurs de nature, de plantes et d’animaux qui cohabitent pour le bonheur de tous avec les étals des bouquinistes ? Est-ce un hasard, si en face est planté sur son quai le marché aux fleurs ?
Où n’est-ce pas plutôt le témoignage du besoin de nature qu’éprouve le citadin ? Besoin de nature qui s’exprime dans la ville de multiples manières, au travers des parcs et jardins, de l’attrait pour les oiseaux, de la recherche des animaux de compagnie.
À la racine de ce besoin se trouve un imaginaire de la nature apaisante, poumon du citadin, porteuse de valeurs positives. La nature est sur le balcon, la terrasse, le toit et le mur végétalisé, dans le quartier avec ses squares et jardins, dans la ville avec ses coulées vertes, dans les zones périurbaines soumises au « mitage » des espaces naturels, dans la région avec ses corridors biologiques qui assurent la continuité écologiques. À une approche traditionnelle de la nature dans la ville doit donc s’ajouter l’approche complémentaire de la ville dans la nature. »
Télécharger l’intégralité de cette étude : La nature dans la ville, biodiversité et urbanisme
Julie Sermon analyse les résonances des problématiques écologiques dans le champ des arts vivants
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