
L’art comme matière à repenser le monde et l’écologie
Guillaume Logé est invité dans l'émission l'Art est la matière.
Crédit image : Pelouse calaminaire, Auby (Nord) © Guillaume Lemoine
La Société Française d’Ecologie (SFE) vous propose le regard de Guillaume Lemoine et Maxime Pauwels, respectivement ingénieur écologue et maître de conférences à l’Université de Lille, sur les pelouses calaminaires du Nord – Pas de Calais.
Les changements globaux en cours représentent généralement une menace pour la biodiversité. Nous nous attendons en effet à ce que les modifications de l’environnement associées aux activités humaines fragilisent les espèces végétales et animales et menacent leur survie à plus ou moins long terme. Cependant, les perturbations environnementales peuvent aussi favoriser l’installation locale de nouvelles espèces ou sous-espèces, voire être à l’origine d’assemblage d’espèces originaux et participer à l’enrichissement de la biodiversité. Ce qui mène à un troublant questionnement : Faut-il remédier à la perturbation, au risque de menacer la biodiversité nouvelle, ou protéger cette biodiversité, en maintenant la perturbation qui en est à l’origine ? Ce dilemme est particulièrement bien illustré par le cas des pelouses calaminaires de la région Nord – Pas-de-Calais (France) et de la province de Liège (Belgique).
Article édité par Anne Teyssèdre.
Guillaume Logé est invité dans l'émission l'Art est la matière.
369 éditions ouvre des brèches où les mutations du monde se racontent, les perspectives se multiplient et de nouveaux savoirs…
La Société Française d’Ecologie et Evolution vous propose ce ‘regard’ sur les réponses des espèces et communautés écologiques aux changements…