
Design écosocial : convivialités, pratiques situées & nouveaux communs
Cet ouvrage ouvre un nouveau champ, celui du design écosocial où les enjeux écologiques et sociaux sont interrogés réciproquement.
L’intervention artistique dans le champ écologique vise moins désormais à donner figure au globe, qu’à désorienter une référence devenue trop consensuelle à l’environnement.Face à des gouvernants tentés de jouer les droits de la terre contre ceux qui la peuplent, l’enjeu est d’inventer, au ras du sensible, une géo-politique.
En octobre 2004, lors de la réunion annuelle de l’Environmental Grantwriters Association, paraît un rapport intitulé « The Death of Environmentalism : Global Warming Politics in a Post-Environmental World » (« La mort de l’environnementalisme : la politique du réchauffement planétaire dans un monde post-environnemental ». Fondé sur des interviews de dizaines de dirigeants d’organisations écologistes américaines ainsi que sur l’équivalent de plusieurs années d’enquêtes d’opinion publique, ce rapport affirme que l’écologie a cessé d’être un mouvement social viable en Amérique : il est désormais perçu comme un groupe de pression parmi d’autres, défendant ses intérêts particuliers à Washington D.C. Selon le rapport, les écologistes ne recourent plus qu’au langage de la science et ne proposent plus rien d’autre que des solutions techniques.
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McKee, Yates. « l’art et les fins de l’écologie. de la « Terre en danger » au droit à la survie », Vacarme, vol. 34, no. 1, 2006, pp. 141-147.
Cet ouvrage ouvre un nouveau champ, celui du design écosocial où les enjeux écologiques et sociaux sont interrogés réciproquement.
Le réveil des imaginaires, avec Alain Damasio, Socialter récidive sur le thème du VIVANT.
Un article de Bénédicte Ramade